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Mots

Symbole provient du grec sumballein ou symballein qui signifie « mettre ensemble, réunir » et, par extension, «expliquer ».

À l'origine, il s'agissait d'une pièce de bois gravée que l'on cassait en deux et dont on réunissait, ensuite, les deux parties confiées à deux messagers afin d'authentifier un message.

C'est de là que vient le mot « cymbales » qui éveillent lorsque l'on les réunit.

L'antonyme grec est donc diaballum, qui signifie « de travers », donc: « séparé, qui sépare, qui empêche l'explication ». Le diable, c'est donc l'illusion.

aout 2018

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Définition diaballum
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Dypsapienculture est un mot que j'ai créé pour exprimer un mode de fonctionnement que je comprends.

Il est composé du grec dypsos = soif, du latin sapientia = savoir et du latin cultura = soin.

La dypsapienculture est donc le fait de prendre soin de l'envie d'apprendre.

aout 2018

Définition dypsapienculture
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Je n'ai plus envie d'utiliser à tort et à travers les mots femme et fille.

Un humain de sexe masculin est défini en tant qu'homme ou garçon. Si l'on veut le rattacher à un père, on 

l'appelle « fils ». Si l'on veut le rattacher à celle qu'il épouse, on l'appelle « mari ».

Outre tous les termes péjoratifs, pour un humain de sexe féminin, il n'existe que deux mots en français: femme et fille. un humain de sexe féminin ne se définit donc que par rapport à une certaine fonction de l'homme: son père ou son mari. C'est-à-dire historiquement depuis au moins 400 ans, son maitre.

Pour moi, cela ne peut pas durer. C'est comme si, par ma passivité, j'étais complice de l'infamie de l'église catholique qui a relégué l'être féminin au rang de démon qui doit être tenu par l'être masculin. C'est comme si j'entretenais, par mon langage, leur raisonnement selon lequel le féminin est inférieur au masculin.

Il est temps de revenir à l'équité dans cette dualité. Et je parle aussi bien de langage, de vision d'une société, que de part de l'être. Donner autant de place à son côté masculin pour la réflexion qu'à son côté féminin pour la création permettra à n'importe qui de redevenir entièrement elle·lui-même.

Par conséquent, et parce qu'il faut bien que je commence par quelque chose, dorénavant, je m'efforcerai d'utiliser le mot « dame » pour l'humain adulte de sexe féminin. Je n'ai pas encore trouvé un terme qui me satisfait pour désigner l'humain féminin non pubère. Ceux que je découvre sont soit extrêmement péjoratifs, soit très lourds d'un sens excluant sur le plan historique, soit le pendant féminn d'un autre nom masculin. Or, je veux trouver un mot sans connotation et dont le pendant soit « garçon ». Il faudra peut-être que je l'invente...

Les puristes s'élèveront devant ce qu'ils penseront être une effronterie. Je m'en moque. À force de l'utiliser, cela deviendra naturel dans le langage et, donc, cela apportera une vision qui me parait plus juste. Car les mots véhiculent des idées et je trouve important de remettre l'idée du féminin aux côtés de l'idée du masculin.

septembre 2018

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